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Quand on prenait le temps.

Il arrive que je repense au temps où l’on prenait le temps… D’écouter, de nous réjouir pour l’autre, de l’accompagner, de faire entrer chez soi le guenilleux, qui curieusement ne dormait pas dans la rue avec des centaines d’autres de ses compagnons.

Il arrive que je rêve d’un monde de compassion. Dans ce songe, les gens de la Syrie ne sont pas victimes des décideurs, les enfants ne sont pas exploités, les petites filles ne sont pas irrémédiablement dépossédées.

Il faudrait peut-être que je change certaines de mes pensées concernant mon propre mode de vie, que je décide de me mettre à la tâche pour changer ma réalité au niveau de mon quotidien. Me donner de la peine pour ouvrir mes horizons…

Ce temps d’éloignement physique est probablement une période idéale…

Car là où est votre trésor, là sera votre cœur.

Non, cet extrait-là ne vient pas de Gilles Vignault mais d’un docteur, d’un auteur également. Il a écrit le troisième évangile et les Actes des apôtres.

Il faudrait bien en reparler.

Qu´il est difficile d´aimer mais depuis long de temps je sais que sans peine il

n´est point d´aimer…

©ritaamabili.com