Les pierres parleront de toi, chronique humaine d’une violence inhumaine
Depuis 2011, la Syrie est en guerre, opposant le régime Al-Assad aux rebelles, et terrorisant une population de plus en plus sacrifiée. Nous y pensons c’est vrai, loin de moi l’idée de vous dire que vous n’êtes pas sensibles au fait que 400 000 personnes sont mortes et que des milliers d’autres vivent dans la terreur en sachant que plusieurs de leurs proches, grands et petits, sont brutalisés dans des prisons immondes.
En avril dernier, j’ai fait mon blogue d’un extrait de ce livre à paraître: « Les pierres parleront de toi, chronique humaine d’une violence inhumaine ». Aujourd’hui, il est tout à fait prêt à être téléchargé à partir de mon site. J’y ai mis la dernière touche, ajouté une préface de mon ami Chadi Alhelou, ensuite je l’ai placé sur la page de « mes livres » et celle de ma « boutique »: https://www.ritaamabili.com/mes_livres/
En ce surlendemain de la Journée Internationale des droits de l’enfant, j’ai le cœur triste. Je tenais à ne pas souligner ce jour anniversaire. En effet en 1989 se signait la « Convention relative aux droits des enfants », document absolument inutile si l’on en juge par la condition des enfants en Syrie, à Gaza, en Afrique et dans bien d’autres pays ; si l’on considère la situation des petits victimes du tourisme sexuel, de vols d’organes, ou servant de cibles pour les nombreux gaz meurtriers…
Mon histoire pour les 15 ans et plus, veut soutenir ces enfants, ces adolescents, expliquer leurs tenants et aboutissants, vulgariser la guerre pour faire comprendre, pour créer une solidarité, pour faire naître la compassion.
Je vous invite simplement à le lire afin que vous sachiez, afin également qu’une partie de l’argent ainsi ramassé puisse être remis aux organismes d’aide, afin d’ébaucher une confraternité, afin que nous devenions chacun les pierres qui parleront sans cesse devant le silence et la douleur de ceux qui se savent pris sauvagement en otage par un conflit qui ne les regarde pas au point d’enterrer leur propre progéniture.
Voulez-vous m’aider ?
Si nous élaborions une ébauche de paix, peut-être pourrait-elle éventuellement contrer la guerre.
Moi, j’y crois.